Ouvrir le dialogue et apporter des solutions
Ils sont finalement 20 associations et bureaux d'étudiants à avoir signé ce communiqué, publié ce mercredi 18 mai, dont la "Corpo de Lyon 3", l'association des Étudiants de l'Université Lyon 3.
Dans cette lettre ouverte, ils "demandent surtout un dialogue, déjà. Que tout le monde puisse se parler et qu'on trouve des solutions, ensemble, avec les associations étudiantes, la mairie et le monde de la nuit", détaille Antoine. Des outils déjà connus pourraient être mis en place, comme les pailles anti-GHB ou des détecteurs de métaux pour les seringues.
"Nous sollicitons (...) l'aide et l'accompagnement nécessaires de la municipalité pour lutter contre ce fléau : en accentuant la prévention, en finançant des mesures de sécurité supplémentaires et en renforçant la réglementation en vigueur", peut-on ainsi lire dans le communiqué.