Considéré comme l'organisateur principal des soirées et déjà connu de la justice, le frère de la gérante écope de 12 mois de prison ferme et 500 euros d'amende notamment pour mise en danger de la vie d'autrui. Une peine qui sera aménageable.
Quant à la gérante de la boîte de nuit, qui avait assuré devant les juges n'être au courant de rien, elle a été condamnée à huit mois de prison avec sursis et 500 euros amende.
La société a été condamnée à 20.000 euros d'amende et le matériel de sonorisation et de lumières saisi a été confisqué.
Par ailleurs, le frère et la sœur ont bénéficié d'une relaxe s'agissant des poursuites pour fraude au chômage partiel. L'entreprise avait distribué quelque 12.000 euros reçus de l'État sur la période, alors que les soirées auraient rapporté 1.500 euros chacune.
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Isère : prison requise pour des soirées clandestines en discothèque
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