En 2014, cette puydomoise de 36 ans accepte de tourner une vidéo contre la somme de 150 euros en liquide d'après La Montagne, sans contrat de travail écrit. Pour elle, la vidéo des ébats devait uniquement figurer sur le site de la société.
La vidéo des ébats se retrouve sur 70 sites pornographiques
Quelque temps plus tard, elle apprend que la vidéo a été revendue et est accessible sur différents sites pornographiques, environ 70 sites internet selon elle. Elle décide donc d'attaque la société et réclame réparation pour le droit à l'image.
Une enquête pourrait être ouverte.