Après une entame difficile (17-10), peut-être causée par un léger stress ou le besoin de prendre la mesure du niveau d'intensité requis dans ce grand monde qu'aucun club français n'avait côtoyé depuis trois ans, les Villeurbannais ont montré qu'ils pouvaient rivaliser avec les monstres. Encore légèrement en retard à la fin du premier quart-temps, l'Asvel réussissait un grand deuxième quart-temps sur le plan défensif, ne concédant que...9 points ! Mi-temps : 40-33.
On imaginait que les Grecs allaient reprendre les choses en main dès le retour des vestiaires ? Pas du tout ! Au contraire, ce sont les Villeurbannais qui continuaient d'accélérer, comptant jusqu'à 12 longueurs d'avance (51-39, 27'). Et même quand l'Olympiakos tentait un rapproché, la défense de l'Asvel montait encore en dureté, à l'image du capitaine Charles Kahudi, toujours aussi intraitable dans ce domaine (56-47, 30').
Après un dernier quart-temps parfaitement maîtrisé, l'Asvel dominait donc un cador de l'Euroligue, un prétendant aux play-offs. Pour leur retour dans le grand monde, les Villeurbannais ont signé une performance majuscule. Un exploit...qu'il faudra renouveler dès jeudi prochain face à l'autre grosse cylindrée grecque, le Panathinaïkos.
Après un dernier quart-temps parfaitement maîtrisé, l'Asvel dominait donc un cador de l'Euroligue, un prétendant aux play-offs. Pour leur retour dans le grand monde, les Villeurbannais ont signé une performance majuscule. Un exploit...qu'il faudra renouveler dès jeudi prochain face à l'autre grosse cylindrée grecque, le Panathinaïkos.