Celle-ci avait indiqué mercredi matin que la garde à vue visait "à procéder à des vérifications d'emploi du temps" et à "des perquisitions" chez cette personne, dont l'identité n'a pas été révélée.
Face à quelques journalistes qui l'attendaient devant la gendarmerie de Chambéry mercredi soir, son avocat Jean-Christophe Basson-Larbi a simplement indiqué qu'il s'agit d'un témoin mis hors de cause en 2015. Selon le conseil, sa garde à vue n'est "pas justifiée" car ce dernier a "toujours eu à cœur de participer à la manifestation de la vérité".
Son portrait robot avait été diffusé en 2013
Il s'agirait de l'homme à moto dont le portrait robot avait été diffusé en 2013. Déjà entendu dans l'affaire deux ans plus tard, il avait été mis hors de cause.
Le motard avait été aperçu par deux gardes forestiers.
►France
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