Dénonçant les "contrats précaires" et le "salaire indigne" proposés aux jeunes diplômées, le syndicat affirme que "la profession vit une hémorragie inédite" et dénonce l'absence de discussions pourtant annoncées par le ministère dans le cadre du "Ségur de la santé".
Des patientes en danger
Une tonalité identique au cri d'alarme de l'Ordre des sages-femmes, qui a averti mardi que "sans réaction des autorités, l'été 2021 pourrait être dramatique" car "les effectifs réduits ne permettent plus de garantir la sécurité des patientes".
Rappelant les "promesses de revalorisation salariale et d'évolution statutaire formulées par les pouvoirs publics il y a plusieurs mois", l'Ordre a regretté qu'un rapport de l'inspection générale des affaires sociales (Igas) attendu fin juin n'ait "pas encore été remis".






