SÉLECTIONNEZ VOTRE VILLE

Rhône
  • Lyon
  • Tarare
Loire / Haute-Loire
  • Saint-Étienne
  • Roanne
  • Le-Puy-en-Velay
  • Yssingeaux
Puy de Dôme / Allier
  • Clermont-Ferrand
  • Vichy
Ain / Saône-et-Loire
  • Bourg-en-Bresse
  • Mâcon
  • Valserhône
Ardèche
  • Aubenas
Isère / Savoie
  • Vienne
  • Grenoble
  • Chambery
  • Annecy
Gold Grand Sud
  • Gap
  • Marseille
  • Nice

Cliquer pour télécharger
l'application Radio Scoop

Le gouvernement annonce une remise de 15 centimes par litre de carburant

Dimanche 13 Mars - 09:04

Actualité


Pompes à essence - © Pixabay / IADE Michoko
Ce samedi, le Premier ministre Jean Castex a annoncé une "remise à la pompe de 15 centimes par litre" de carburant, à partir du 1er avril et pendant quatre mois.


Une bonne nouvelle pour le portefeuille. Face à l'envolée des prix du carburant, et à moins d'un mois de la présidentielle, le Premier ministre Jean Castex a annoncé une "remise à la pompe de 15 centimes par litre" de carburant, à partir du 1er avril et pendant quatre mois.

Une remise valable sur tous les carburants


Cette mesure, qui coûtera environ 2 milliards d'euros à l'État, concerne les ménages comme les entreprises et sera "valable sur tous les carburants", a précisé le Premier ministre dans une interview au journal Le Parisien.

Les prix de tous les carburants, et notamment du diesel, augmentent en continu depuis plus de deux mois, en France comme dans le reste de l'Europe et ailleurs, en faisant l'un des sujets importants de la campagne électorale, avec l'inflation en général. La hausse a été causée par une production de pétrole qui n'arrive pas à suivre le rythme de la forte reprise économique mondiale, et qui a été encore accélérée par l'invasion russe de l'Ukraine.

La remise s'effectuera au moment du paiement, en caisse ou par carte bancaire à la pompe, et ne sera donc pas visible d'emblée sur les prix affichés, a détaillé le chef du gouvernement. Si l'État "remboursera" ensuite les distributeurs, Jean Castex les a appelés, tout comme les "pétroliers", à faire eux-mêmes "un geste complémentaire". Des "discussions" sur ce point sont en cours, a précisé Matignon qui a décelé "des signaux positifs".