Selon Le Progrès, son avocat se serait appuyé sur des échanges SMS datant de 2015 et 2016 entre Gilles Artigues, la victime et Samy Kéfi-Jérôme. Qui montreraient que la victime présumée était bien au courant de ce qui allait se passer dans la chambre d'hôtel parisienne, où il a été filmé avec un escort boy. Ses échanges, SMS, remettraient en cause le fait que Gilles Artigues ait été drogué.
Il nie les faits
Selon le quotidien, l'adjoint à l'éducation a, via son avocat, démenti fermement les accusations dont il est la cible. Il a également laissé planer le doute quant à une future plainte pour dénonciation calomnieuse. Plainte, déjà déposée par le maire de la ville, Gaël Perdriau, plus tôt dans la semaine, dénonçant une "machination" à son égard.
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