"Mila et sa famille font l'objet d'une vigilance particulière, pour les protéger, de la part de la police nationale", a déclaré Christophe Castaner qui était interrogé à l'Assemblée nationale lors des questions d'actualité au gouvernement.
L'entourage du ministre de l'intérieur a précisé qu'il ne s'agissait pas "d'une protection rapprochée mais d'une vigilance particulière de la part des forces de l'ordre".
L'adolescente toujours déscolarisée
Quinze jours après la publication de sa vidéo controversée, suivie d'une vague de menaces de mort et de viol, la lycéenne n'a toujours pas réintégrée son établissement de Villefontaine, où ses attaques ont provoqué l'indignation d'une partie des élèves.
Elle se retrouve sans affectation scolaire, dans l'attente d'une solution du rectorat.
Mila a assuré lundi sur TMC ne "pas regretter" ses propos, revendiquant son "droit au blasphème".